Jean Baudrillard
JEAN BAUDRILLARD PATAPHYSICIEN 1, 2, 3, 4 & 5
François Séguret, compagnon de longue date de Jean Baudrillard, est lui-même, membre du Collège de Pataphysique.
Il révèle dans l'ouvrage ici présenté l'interprétation profondément pataphysique de la théorie baldriardienne.
Ce n’est qu’à la fin de l’occultation du Collège de ’Pataphysique que l’on découvrit Jean Baudrillard pataphysicien.
Emmanuel Peillet, son professeur de philosophie au lycée de Reims que l’élève Baudrillard fréquentait, fonda le Collège de ’Pataphysique.
Jean Baudrillard en devint Trancendental satrape.
Le texte d’obédience pataphysique écrit par Jean Baudrillard, “Ubu, l’état gazeux et caricatural” (non publié à l’époque où il l’a écrit, probablement en 1978).
Il fut publié en nos éditions en 2002 sous le titre 'Pataphysique, choisi par l’auteur.
LES PARADIS ARTIFICIELS DU POLITIQUE
Durant sa période utopienne, Jean Baudrillard publia trois textes dans la revue Utopie, “La lutte enchantée ou la flûte finale” (1977), “Castrée la veille de son mariage” (1977) et “Pavane pour une gauche divine” (1978), qui furent repris sous forme de volume dans la collection “Les Cahiers d’Utopie” sous le titre "Le P.C. ou les paradis artificiels du politique". Il y était question du parti communiste français, P.C.F., dit le P.C., dans ses rapports avec la gauche socialiste et l’ensemble des partis politiques en vue de former la Gauche divine! À savoir qu'à l'époque, le P.C. était un diapason qui donnait le la tant aux leaders qu'aux intellectuels.
Il poursuivra cette pensée dans "Au royaume des aveugles", (Sens&Tonka, rééd. 2002), mais cette fois avec l’autre extrême, le, à droite toute, du FN. Dès 1997, il avait compris que le référent allait être celui-là, "De l’exorcisme en politique ou la conjuration des imbéciles". Le titre est clair, qu’il complétera par "Au royaume des aveugles", qui souligne l'évidence de notre actualité.
L'AGONIE DE LA PUISSANCE
L’Agonie de la puissance réunit trois variations de textes de Jean Baudrillard écrits à l’occasion de conférences prononcées au cours des années 2005 et 2006. Ces textes, qui ont un fonds commun (l'hégémonie du Bien, la "terreur blanche"...) permettent de saisir les interstices, les subtilités de la pensée de l’un des grands penseurs de notre époque.
JEAN BAUDRILLARD PATAPHYSICIEN
Dans ce texte prononcé lors de la manifestation « Baudrillard is back », à Reims, en 2009, François Séguret dévoile un secret jusqu’alors bien gardé : Jean Baudrillard, pataphysicien.
HARD MEMORIES
Dans ce texte prononcé lors de la manifestation « Baudrillard is back », à Reims, en 2009, le psychanalyste Michel Neyraut rend hommage à son ami de jeunesse et camarade de lycée en évoquant quelques-uns de leurs souvenirs communs.
LE CHAT DE FAÏENCE AU LIEU D'ÊTRE EN CHAIR
— INÉDIT —
Le Chat de faïence au lieu d’être en chair est le premier texte de Jean Baudrillard. Il s’agit d’un poème daté de 1949, l’auteur avait alors vingt ans.
VÉRITÉ OU RADICALITÉ DE L'ARCHITECTURE ?
— INÉDIT —
Rarement une pensée sur, ou à propos de l’architecture le fut avec cette acuité, sans doute inadmissible, avec une aussi jolie tendresse, car c’est là le paradoxe baldrillardien : aimer ce que l’on repousse, épouser le haï pour le contraindre à sa radicalité fervente et heuristique. Fin de toute dialectique.
JEAN BAUDRILLARD, UTOPIE, 68 ET LA FONCTION UTOPIQUE
Baudrillard penseur de 68 ? Sans hésiter, probablement le sociologue qui sera le plus longtemps et le plus fréquemment revenu encore et encore sur les événements. Probablement, depuis 68, aura-t-il toujours cherché à comprendre comment et pourquoi l'aliénation a changé de lieu.
OUBLIER ARTAUD
— INÉDIT —
Un dialogue, entre J. B. et S. L., qu’ils eurent le 16 novembre 1996 à New York.
On y trouve la quintescence de la position baldrillardienne face aux habitudes et engouements divers de ses contemporains. On peut mesurer aujourd’hui que la liberté de pensée n’est pas aussi aisée qu’on le prétend.
À L’OMBRE DES MAJORITÉS SILENCIEUSES OU LA FIN DU SOCIAL
— RÉÉDITION —
Le premier ouvrage qui dans le troisième quart du XXe siècle analyse la transformation de la démocratie et de la politique. Les « masses absorbent toute l’électricité du social et du politique et la neutralise en retour ». Et l’auteur d’ajouter : « la masse est caractéristique de notre modernité, à titre de phénomène hautement implosif. »
Première édition, Les Cahiers d'Utopie, 1978.